Présentation de la commune de Baneins
Cadre de vie
D’une superficie de 872 ha, au nord ouest de la Dombes, en limite de Châtillon-sur-Chalaronne, et d’une altitude comprise entre 215 et 271m, le territoire de la commune est traversé par la rivière » le Moignans « , dans lequel se jette un petit ruisseau » le Mazanan « .
La population de Baneins est de 606 habitants et se répartie dans différents hameaux : » Le Bourg, le Deromptey, les Bunaz, les Marcelins, les Billons, les Souches, la Teppe, les Colombards, la Sablonnière, le Marquet, le Chateau, les Bagés, la Fraze, les Maisons Neuves, Champ Verdelet, le Moulin, les Carronnières, le Mazanan, les Bois. »
Vie économique, associative et culturelle
L’activité agricole est prédominante sur la commune. L’élevage est encore important malgré une évolution vers les productions céréalières. Le village compte également quelques artisans-commerçants (restaurant, menuisier, taxi, taxidermiste…)
» Favoriser les échanges et l’ouverture sur l’intercommunalité tout en préservant le caractère rural d’une petite commune « , telle est la volonté des élus, exprimée par Christine Gonnu, maire. Les meilleurs exemples en sont le jumelage, aux côtés de Châtillon et Vonnas, avec Wächtersbach, ville allemande, et l’accueil du festival « Les Temps Chauds », où¹ chacun découvre les merveilles musicales du monde entier. Les baninois savent également se mobiliser pour des actions, telles que la journée de l’Europe, les journées du patrimoines de pays ou diverses manifestations locales.
Les sites à découvrir sur Baneins sont :
* le Deromptey, qui est une petite colline à l’ouest du village. Elle offre une vue magnifique sur 360 °. Par temps clair, on y aperçoit le Mont Blanc et permet d’admirer la campagne environnante ainsi que le Reverment à l’est et les contreforts du Massif Central à l’ouest ;
* l’église de style roman dont certaines parties datent du XIème siècle et le portail du XIIème est encadré de deux colonnes surmontée de deux chapitaux à bestiaire. Le clocher qui devait se trouver au-dessus de la travée du chÅ“ur, a été détruit à la révolution et reconstruit au-dessus de l’entrée. Le tympan, sculpté en l’honneur du saint patron du lieu, représente Saint Martin à cheval, partageant son manteau avec un mendiant à genou qui s’appuie sur une béquille (XIXème siècle).
A l’intérieur des peintures murales ornent le coeur de l’église, dont un très beau ciel constellé d’étoiles où¹ se détache un Christ en magesté peint en 1869 et restauré en 1993 ;
* le lavoir, construit en 1912.